Une convention Avoda a voté la participation au gouvernement par 57% contre 43%.
Les Travaillistes obtiennent cinq postes ministériels, Yehud Barak conservant celui de la Défense.
Dans l’accord de gouvernement signé, nulle part n’apparaît la reconnaissance d’un Etat palestinien. Seule est mentionnée la recherche d’une solution de paix dans la région.
Le leader du parti de droite extrême, Liberman, futur ministre des Affaires étrangères, continue de déclarer que les Arabes Israéliens (20% de la population) n’ont pas leur place en Israël.
Quant au parti travailliste, s’il n’est pour le moment pas question de scission, le groupe parlementaire est néanmoins divisé en deux : une partie soutiendrait le gouvernement par discipline, une autre se réfugierait dans l’abstention.
Le parti Kadima (Tsipi Livni) demeure dans l’opposition, pensant que dans moins de deux ans, la majorité actuelle connaîtra une crise.
Il faut ici préciser que pour le moment personne ne se préoccupe du domaine social, dans un pays qui a pourtant 20% de sa population vivant au-dessous du seuil de pauvreté.
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